Marie Laure Chamorel, Fée main.

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Les puces de Clignancourt, c’était ma balade du dimanche avec les copines quand j’avais 18 ans, autant dire que quand j’y suis retournée avec Marie Laure dimanche dernier, ce fut un peu ma madeleine de Proust, je n’y avais pas remis les pieds depuis ce temps là !

La sortie du métro porte de Clignancourt n’a pas changé d’un iota, on n’est pas à Paris mais quelque part en Afrique, sur une ligne jumelle qui doit aller d’Alger à Abidjan en passant par Bamako. Des femmes en boubou multicolore, des vendeurs à la sauvette de montres imitation de luxe, un marché de bric et de broc qui s’étend jusqu’au périph, une foule bigarrée dans laquelle on s’aventure comme dans un voyage.

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