Martin Martin, le chic remix selon Capucine

Si la mode reste pour moi un domaine désirable, c’est parce que je n’ai jamais réussi à en faire un métier pour en percer les mystères. Du haut de mon 1m73, j’ai bien tenté une carrière de top model autour de mes 20 ans, mais mon rêve s’est heurté à la dure réalité d’un nez trop grand, d’une oreille mal finie, d’un IMC non conforme et d’une démarche dégingandée digne d’Olive, la femme « à Popeye ».  

J’ai remballé mes rêves de grandeur après quelques petits jobs de mannequin-cabine au salon du prêt-à-porter pour des marques du sentier, job rémunérateur mais totalement dévastateur pour mon égo. Et j’ai remisé la mode au rang d’archétype de la perfection, inaccessible, réservé aux déesses de la hype. Lire la suite

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