La rentrée n’est pas supprimée ? Le mois de septembre non plus ? Pas évident… L’installation de cette foutue pandémie nous scotche dans un présent anachronique. Le passé s’efface, on ne se rappelle plus qu’il y a 6 mois on se faisait la bise et tout le monde se tripotait sans vergogne. Quant au futur il est aussi bouché que le sommet du Mont Blanc dans le brouillard, comment imaginer la suite quand les seuls projets de rencontre avec d’autres êtres humains se résument à des réunions sur zoom ?