La fashion week est comme une tempête, elle a cela de particulier qu’elle met tout le monde sur le pont, et puis elle s’arrête en laissant derrière elle un équipage épuisé et pantelant, mais heureux d’avoir vaincu les éléments.
Par tout le monde, j’entends les créateurs de mode, d’accessoires et de bijoux, leurs équipes commerciales, les acheteurs, les boutiques, les journalistes, les agences de presse, les blogueuses, les It girls, les mannequins, bref, tout ce monde qui vit de ce business, et qui vient à Paris cette semaine là.