Amélie Viaene, à la recherche du pur mouvement

La dernière semaine d’aout est toujours pour moi un doux « torture-test ».

Mon cerveau est engourdi par de longues semaines d’inactivité, alors qu’il meurt d’envie d’en découdre.

Mes jambes sont habituées à de nombreux kilomètres de course, vélo ou rando dans l’immense nature et n’ont plus que le bitume parisien et les sentiers balisés du bois de Boulogne pour calmer leur ardeur.

Mon courage est aussi vivace qu’un marshmallow fondu au soleil, alors que l’horizon se remplit de dates, d’événements, réunions, projets et contraintes en tout genre.

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