Sans verser dans l’astrologie, il y a un point commun entre les mois de septembre et janvier.
Dans les deux cas, on sort d’une parenthèse officiellement enchantée (les fêtes, les vacances), on a débranché tout le système, et on est dans un état second proche d’un coma volontaire et extatique, j’exagère à peine.
Pour sortir de cette apesanteur, une seule solution les médecins vous le diront, le shoot d’adrénaline. C’est communément le retour aux obligations professionnelles qui fait office de shoot, seuls les chômeurs, les oisifs, ou les retraités, à leur grand désarroi d’ailleurs, ne bénéficient pas de ce choc régénérateur. Comme quoi la rentrée est un mal pour un bien, life is going on again.